A02: Acier autopatinable

L'acier résistant aux intempéries n'est disponible en standard qu'en tôle. Le tonnage minimum de 50 tonnes par profilé est souvent trop élevé pour commander des profilés en acier résistant aux intempéries. En règle générale, il est plus pratique de composer vos propres profils à partir d'une feuille résistante aux intempéries.

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Le helpdesk de Bouwen met Staal a déjà répondu à cette question (novembre 2010).

Une concentration trop élevée d'ions chlore dans l'air sur la côte empêche l'accumulation de la couche protectrice en acier résistant aux intempéries, de sorte que pour l'application d'acier résistant aux intempéries, il est conseillé de garder une distance minimale d'environ 2 km de la mer. Si la couche de protection ne peut pas être constituée ou ne peut pas l'être correctement en raison de la présence de chlorures (cela prend 2 à 3 ans), cela a également un effet sur l'apparence de l'acier. Si la construction est plus proche de la mer que 2 km, il est recommandé d'utiliser un système de peinture ou de doter l'acier résistant aux intempéries d'un revêtement en poudre transparent. Pour ce faire, la couche de patine doit d'abord avoir été formée et avoir la couleur désirée. Pour ce faire, les planches peuvent être placées à l'extérieur pendant un certain temps, à une distance suffisante de la côte. Il existe des possibilités d'accélérer la corrosion des plaques par traitement acide. Pour ce faire, veuillez contacter un fournisseur d'acier résistant aux intempéries.

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Le helpdesk de Bouwen met Staal a déjà répondu à cette question (mars 2010) .

Le plus grand ennemi de l'acier résistant aux intempéries est l'exposition prolongée et durable à l'humidité. Le processus de corrosion, qui se produit sous l'influence des intempéries, fournit une couche de patine d'étanchéité qui réduit considérablement la corrosion. La couche de patine qui en résulte a une surface rugueuse. Le processus de corrosion dure environ 3 ans et dépend du climat. Après cette période, le processus de corrosion ralentit très fortement, mais ne s'arrête pas.

Le contact entre le nouvel acier résistant aux intempéries et le sol empêche l'accumulation de la couche de patine et, dans la pratique, signifie souvent une exposition prolongée à l'humidité. Ceci a un effet négatif sur la durée de vie de l'acier résistant aux intempéries. Nous recommandons d'appliquer une couche de protection à l'endroit où l'acier résistant aux intempéries entre en contact avec le sol.

Une construction bien exécutée en acier résistant aux intempéries n'a pas d'évidements où l'eau peut s'accumuler, a des caractéristiques qui empêchent l'eau de rouille de s'écouler au cours des premières années et de causer des taches sur d'autres pièces et est équipée de connexions pour séparer les surfaces de contact. Ces aspects nécessitent une attention particulière.

Avec des constructions bien exécutées en acier résistant aux intempéries, dans des circonstances normales, l'eau de rouille ne contient que des oxydes de fer qui peuvent être absorbés par la nature sans conséquences négatives, car le fer est également courant dans la nature. Ce n'est que si la couche de patine est retirée de la surface qu'il se produit une certaine émission de cuivre.

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Le helpdesk de Bouwen met Staal a déjà répondu à cette question (février 2010) .

Les deux sont des aciers de construction S355 (limite d'élasticité 355 N/mm2). La qualité JR correspond à une température d'essai de 20 °C avec un noyau de 27 J ; J0 correspond à une température de 0 °C avec le même noyau. G3 représente d'autres caractéristiques (supplémentaires). Pour l'acier résistant aux intempéries, on utilise l'addition W ou WP.

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Le service d'assistance de Bouwen met Staal (juin 2009) a déjà répondu à cette question.

L'acier résistant aux intempéries acquiert sa couleur par oxydation de la surface par exposition aux intempéries, donc en combinaison avec l'humidité et l'oxygène. Au départ, la couleur est la même que celle de l'acier rouillé, à savoir orange-brun. Avec le temps, et donc avec le processus d'oxydation, la couleur devient de plus en plus foncée et finalement se stabilise. Au cours du processus d'oxydation, une couche d'étanchéité dense se forme à la surface, ce qui fait que le processus d'oxydation ne se poursuit que très lentement.

Lorsque l'acier résistant aux intempéries est utilisé à l'intérieur, il s'oxyde à peine en raison de l'absence (presque) d'humidité. La couleur rouge-brun souhaitée n'apparaît pas. Une possibilité est de sabler d'abord les tôles d'acier résistant aux intempéries, puis de les stocker à l'extérieur dans des conditions contrôlées, afin que le processus d'oxydation puisse se dérouler d'une manière conditionnée. Il faut ensuite environ trois mois pour obtenir une couleur brun rougeâtre. Après cela, il est possible de traiter l'échantillon avec un revêtement transparent spécial pour les applications intérieures qui scelle la peau d'oxyde et empêche également la peau d'oxyde d'émettre.

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Cette question a déjà été publiée dans la section Question & Answer dans Bouwen met Staal 193 (décembre 2006).

L'acier résistant aux intempéries est une nuance d'acier dont les éléments d'alliage comprennent le chrome, le nickel, le cuivre et le phosphore. Ce matériau est plus connu aux Pays-Bas sous les marques Cor-ten steel et Patinax steel et est standardisé dans la norme NEN-EN 10025-5.

La corrosion de la surface du métal se traduit par une couche de protection solide, ce qui ralentit le taux de corrosion au fil du temps. L'expérience a montré qu'après un à trois ans, cette couche d'étanchéité a presque atteint son épaisseur finale et ne croît que marginalement. La couche de protection empêche la corrosion atmosphérique. Il est donc important de laisser cette couche intacte, sinon le processus de corrosion recommencera.

La durée de formation de la couche protectrice dépend fortement de l'atmosphère dans laquelle se trouve l'acier. Dans le voisinage immédiat de l'eau de mer ou dans un climat industriel, l'accumulation est plutôt lente. Au cours de cette période, l'apparence de l'acier passe du brun clair à une couleur brun rouille foncé.

L'avantage important de l'acier résistant aux intempéries est qu'il se préserve lui-même. Même en cas de dommages, une couche protectrice se forme avec le temps. Lors de l'évaluation des coûts entre l'acier résistant aux intempéries et l'acier de construction, il est important d'examiner non seulement les coûts de construction, mais aussi les coûts sur l'ensemble du cycle de vie de la structure.

L'acier résistant aux intempéries n'est pas largement utilisé en Europe. Aux États-Unis, cependant, ce matériau semble être une alternative compétitive pour les projets d'infrastructure.

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Cette question a déjà été publiée dans la section Question & Answer dans Bouwen met Staal 138 (octobre 1997).

L'acier Cor-Ten est un nom de marque pour l'acier résistant aux intempéries ou l'acier résistant aux intempéries. Une différence entre Cor-Ten A et B est la résistance aux intempéries. La perte de matériau après dix ans est d'environ 30-75 m pour Cor-Ten A et d'environ 75-100 m pour Cor-Ten B. Cor-Ten A est donc plus résistant aux intempéries que Cor-Ten B. Pour information : pour l'acier au carbone (acier de construction normal), la perte de matériau est de 150-200 m après dix ans.

Une autre différence est le comportement à des températures élevées. Cor-Ten A conserve sa pleine résistance et sa rigidité (limite d'élasticité, module d'élasticité) jusqu'à 540 °C. Cette limite est de 425 °C pour le Cor-Ten B et de 400 °C pour l'acier au carbone.

Selon la norme NEN-EN 10025-5, Cor-Ten A (type WP) correspond virtuellement aux aciers de construction S355J0 et S355J2 (J0 signifie une valeur d'impact de kerf d'au moins 27 J à 0 °C et J2 la même valeur d'impact de kerf à 20 °C) et Cor-Ten B (type W) à S355J2 et S355K2. Les propriétés mécaniques de Cor-Ten A et B sont à peine différentes l'une de l'autre.

fig. a][Fig. a][Fig. a

remplacé par le symbole mu(3x)

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Cette question a déjà été publiée dans la section Question & Answer dans Bouwen met Staal 178 (juin 2004).

Dans un environnement d'eau salée, l'acier est toujours particulièrement sensible à la corrosion. Le fait qu'il y ait une alternance entre les situations humides et sèches favorise également le processus de corrosion. Après tout, il y a à la fois de l'oxygène et un fluide électrolytique (eau salée). L'acier résistant aux intempéries, également connu sous le nom de Cor-Ten, a la capacité de développer une couche de corrosion autoprotectrice dans un cycle humide et sec qui, avec le temps, protège presque complètement le matériau sous-jacent contre la corrosion. Contrairement aux aciers de construction ordinaires, cette couche a une bonne adhérence à l'acier sous-jacent et une structure beaucoup plus dense. Cependant, les types d'acier résistant aux intempéries actuellement disponibles ne conviennent pas à une utilisation dans des environnements salins. A l'état non protégé, la couche protectrice de corrosion ne se développe pas, ou à peine, et la corrosion par piqûres peut se produire. Dans un état protégé (par exemple, revêtu), l'acier résistant aux intempéries ne se comporte pas mieux (mais pas moins bien) que l'acier ordinaire dans les environnements salins. En effet, si la couche de peinture est endommagée localement, la couche de corrosion peut difficilement se développer.

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Cette question a déjà été publiée dans la section Question & Answer in Bouwen met Staal 196 (juin 2007).